Organiser la solidarité, un véritable casse-tête

Il est très difficile d’organiser la SOLIDARITÉ en se basant uniquement sur la cause pour laquelle on souhaite que les autres s’engagent. Il existe des théories et concepts qui aident, mais ces choses restent très difficiles à mettre en œuvre.

La solidarité est très difficile à organiser, principalement, parce qu’il faut arriver à attirer avec soi des personnes dont l’aide serait salutaire mais qui peuvent difficilement se sentir concerné car loin, très loin de la réalité que vivent les supposés bénéficiaires de ces actes de solidarités.

Aujourd’hui, les mouvements qui arrivent à organiser la solidarité à grande échelle s’éloignent très rapidement de certains principes fondamentaux à leur lutte. Pour avoir de la visibilité, de l’argent, des ressources, … ces mouvements vont jongler entre activités absurdes et expositions indécentes des supposés bénéficiaires.

C’est souvent à ce prix-là qu’ils arrivent à attirer des « suiveurs » ou des supporters. Mais que voulez-vous ? Nous, les êtres humains avons cette force qui très souvent nous fait oublier que notre existence est liée à celle des autres.

On pense qu’on est solidaire des autres mais ce n’est pas évident de s’impliquer lorsqu’une dynamique nait et souhaite que l’on se prépare pour être solidaire dans le futur. C’est le cas des associations, des clubs, … Ces cercles d’humains devraient fonctionner sans efforts du fait de leurs missions et des visions qu’ils ont pour le monde dans lequel on évolue.

Mais c’est mal nous connaitre. Nous les humains.

Tous ignorons, quand ça nous arrange, le fait qu’une heure de notre temps, une contribution à hauteur de 0,1% de nos revenus, … peut permettre à restaurer quelqu’un qui est en train de perdre « la dignité humaine ».

Une pensée pour tout ceux qui arrivent à mettre l’humanité au dessus de tout afin d’aider, d’accompagner, et de contribuer aux actes de solidarité autour d’eux.

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LA PHOTO : je suis avec mon « vieux-père » Antoine Tako, le doyen qui m’a toujours conseillé dans les actions de solidarité humaine à travers ce que je sais faire le mieux : usage des technologies pour améliorer la vie.