L’un de mes amis évoque fréquemment le temps et l’énergie que les individus investissent dans les calculs relatifs au loto et au PMU, souvent désignés avec humour comme les « Forcasseurs ». Il plaisante en soulignant que cette même détermination aurait pu les propulser au rang d’experts en mathématiques, notamment dans le domaine des probabilités, s’ils avaient consacré une fraction équivalente de leur énergie à des études académiques. Il est frappant de constater que ces individus ont la possibilité, à tout moment, d’opter pour un programme éducatif ou universitaire.
Il réfléchit sur la puissance de l’esprit humain, soulignant qu’il peut parfois se comporter comme un danger pour lui-même. Ce potentiel intellectuel, souvent sous-utilisé, s’invente des obstacles, des blocages, et engendre des réflexions dénuées de sens, inappropriées, voire hors contexte. Il remarque avec ironie que l’esprit humain, malgré sa capacité exceptionnelle, peut inciter à des actions contre-productives, préjudiciables aux besoins simples et essentiels.
Il exprime sa pensée pour tous ceux qui consacrent de longues heures à se plaindre de leur salaire ou de leur situation professionnelle. Il souligne que le temps investi dans une formation significative, soit entre 60 et 200 heures, pourrait les propulser à une valeur 10, 20%, voire 50% supérieure sur le marché de l’emploi ou dans le monde des affaires.
En guise de conclusion, il adresse ses vœux à tous ceux qui aspirent à mettre en place un système automatisé d’envoi d’emails ou de SMS personnalisés, conformément à un plan préalablement défini, pour répondre aux demandes d’informations sur les produits et services qu’ils proposent sur les réseaux sociaux. Il rappelle que la solution à bien des défis se trouve souvent plus à portée de main que l’on ne le pense, soulignant l’importance de l’alphabétisme digital.