- La loi proscrit formellement 🚫 la discrimination à l’emploi sur divers critères tels que la race et le genre.
- Certaines lois et accords patronaux autorisent, cependant, la mise en place de mesures dites de discrimination positive. Ces dispositifs visent à remédier à des désavantages constatés et reconnus au sein d’un secteur particulier.
- Il est crucial de souligner que la discrimination positive ne vise pas à restreindre l’accès à une certaine catégorie, mais plutôt à offrir davantage d’opportunités à des groupes confrontés à des inégalités avérées. Ces politiques sont, de manière inhérente, temporellement limitées et sont destinées à cesser à un moment donné.
- La pratique de la discrimination positive ne trouve pas son origine dans les luttes pour l’égalité des droits entre hommes et femmes. Aux États-Unis 🇺🇸 et en Afrique du Sud 🇿🇦, par exemple, elle persiste afin de réduire l’écart entre les populations noires et blanches.

- Lorsque nous évoquons les « droits de la femme et de la fille », il est essentiel de comprendre qu’il ne s’agit pas de proclamer que « la femme est l’égale de l’homme ». Il s’agit plutôt d’assurer une égalité en termes de droits, conformément à la déclaration universelle des droits de l’homme. Tout autre point de vue relève d’un débat distinct.
- Les multiples opportunités récemment instaurées en faveur des femmes résultent d’efforts de recherche déployés par divers acteurs, hommes inclus, ayant conduit à la prise de mesures visant à rectifier des injustices constatées.
- Il convient de ne pas confondre l’expression « candidatures féminines encouragées » avec une volonté de favoritisme.
- Il est enfin impératif de reconnaître que l’appel à l’application des droits de l’homme aux femmes n’est pas l’apanage exclusif des mouvements féministes. Un consensus existe parmi ceux qui souhaitent voir ces droits appliqués de manière équitable, indépendamment du genre. #8Mars #8 mars 2022 #JIDF