Facebook, Twitter, LinkedIn, et d’autres plateformes offrent des cours et des tutoriels qu’elles produisent elles-mêmes, permettant ainsi à toute personne sachant lire et écrire d’apprendre à les utiliser de manière hautement performante pour atteindre ses objectifs.
Regretttablement, plusieurs catégories de personnes émergent :
- Celles qui ont considéré la lecture comme une activité limitée au cadre scolaire. Depuis la fin de leur cursus éducatif (parachevé par un diplôme prestigieux), elles ne lisent que lorsqu’une obligation extérieure les y contraint (telles que le travail, les responsabilités familiales, etc.).
- Celles qui n’ont jamais saisi que la lecture est un moyen de comprendre et d’acquérir de nouvelles connaissances, les rendant ainsi meilleures en intégrant ces nouvelles acquisitions à leur bagage existant.
- Celles pour qui l’apprentissage de quelque chose de « sérieux et puissant » doit obligatoirement être réalisé au sein d’une institution éducative formelle, telle qu’une école ou une université.
- Heureusement, il existe un groupe restreint de personnes qui, indépendamment du volume de lecture, reconnaissent que « consacrer une demi-heure (au plus) chaque jour à LIRE ce document, permettra, d’ici un mois, de maîtriser X/Y/Z. »
Si d’autres archétypes de personnes viennent à l’esprit, je vous invite à les partager avec nous.
Sur la photo, Brou Madeleine Kouassi Mobloo, intervenante lors des conférences du programme Sheisthecode, a animé une session dans une école d’Abidjan pour enseigner aux jeunes filles les bonnes pratiques sur le web. À l’origine responsable du département projet d’animation d’activités en bibliothèque de la Mairie de Yopougon, Madeleine a surmonté l’analphabétisme du Web grâce à une lecture assidue, lui permettant aujourd’hui d’aider les autres à en faire de même.